Le parfum des fleurs de frangipaniers qui bordent la sortie de l’aéroport de la capitale cambodgienne, marque le début de notre voyage au Cambodge. Lorsque vous arrivez d’Occident, vous avez cette impression en quelques secondes de pénétrer dans un autre monde… La langue khmère fuse de partout, les caractères des enseignes ont changé, et notre corps réagit aux 20 degrés supplémentaires de température.

Mille et une activités de restauration ambulantes s’affairent dans les rues de Phnom-Penh. Les trottoirs ne sont pas pour les piétons. Ils ont été privatisés par les commerçants, servent de parking temporaire aux scooters.

On doit se débrouiller pour tracer sa route, car ici mille et un scooters, tuk-tuk, range-rover, klaxonnent, doublent par la droite puis par la gauche, dans un flux de circulation incessant.

On vous appelle mille et une fois pour savoir si vous ne voulez pas un tuk-tuk. Non merci, je préfère me promener à pieds, y aller à mon rythme, même s’il faut faire très attention.

Je vous laisse découvrir en quelques photos ces rues de Phnom-Penh…

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